jeudi 31 janvier 2013

Apprendre à respecter le vide.


Interview du Figaro de MOUSSA NABATI, psychanaliste, auteur de:" Comme un vide en moi" chez Fayard.
-Le Figaro:L'hyper-activité et l'angoisse du vide sont-elles uniquement liées au contexte sociétal?
-MN: je ne crois pas. Il y a du positif dans notre société: libertés, nouvelles technologies, santé... cependant, se pose le problème des limites; cette profusion tous azimuts dépossède beaucoup de personnes de leur intériorité. Il existe un décentrage chez ceux qui sont dominés par leur "enfant intérieur"; ils ont besoin d'être reconnus, l'illusion d'être comblés par une profusion d'objets, d'activités et de relations "bouche-trous".
-Le Fig: Il y a donc de l'infantile dans l'incapacité à se recentrer?
-MN: Beaucoup d'entre nous, enfants, ont , à un moment, fait l'expérience d'une "carence matricielle", (pour de multiples raisons et sans culpabiliser la mère ou l'adulte qui s'occupait d'eux),se traduisant pas un vide de nourriture affective. Devenu adulte, cet enfant aura tendance à fuir toutes les situations qui lui rappelleront ce vide et à quêter frénétiquement ce qui pourrait le combler: activités à outrance, hyper-consommation, internet...
-Le Fig: la psychanalyse peut-elle libérer d'un tel trouble?
-M.N:Non. Elle aide à en prendre conscience;ce sont  les thérapies cognitives et comportementales, ou le développement personnel qui vont aider le patient . On cherche les raisons de son incapacité à affronter le vide, et on met en place des mesures pour transformer le vide en énergie.
- Le Fig: par exemple?
-MN: Ralentir, renoncer à certaines relations, prendre de la distance, apprendre à patienter, faire silence....
-Le Fig: et la méditation?
M.N:Elle est positive tant qu'on ne la transforme pas en nouvelle religion qui deviendrait alors une aliénation supplémentaire.

dimanche 27 janvier 2013

LES EFFETS DU FOUR A MICRO-ONDES

« Le four à micro-ondes est une enceinte dans laquelle l'aliment mis à chauffer va subir un flux d'électrons. Il s'agit d'un véritable bombardement électronique car la fréquence est très élevée.
Ce qui est étonnant dans ce mode de cuisson, c'est que les aliments chauffent alors que les plats qui les contiennent restent froids.
L'explication tient dans le fait que l'action du micro-ondes se fait uniquement sur les molécules d'eau. C'est l'énergie mécanique dégagée au sein même des aliments par la mise en rotation ultra-rapide des molécules d'eau qui va provoquer l'augmentation de température et permettre la cuisson. Ces molécules sont agitées 2 milliards 450 millions de fois par seconde.
On savait déjà que l'utilisation de ces appareils était déconseillée aux femmes enceintes, aux cardiaques porteurs de pace-maker. Depuis peu, un rapport de trois pages, remis à la Commission de Bruxelles, conclut même à la nocivité de ces fours. Selon Karel Van Miert,
Commissaire Européen, « des recherches scientifiques et médicales sembleraient conclure que le four à micro-ondes puisse transformer la structure moléculaire des amino-acides contenus dans les protéines de certaines denrées alimentaires (produits laitiers, plats cuisinés, viande et poisson). Cette transformation aurait surtout des effets potentiellement nocifs sur la santé humaine et plus particulièrement sur les jeunes enfants et les bébés.
Quand on sait que les amino-acides -encore appelés acides aminés- sont les éléments constitutifs des noyaux cellulaires, et plus exactement des chromosomes, il y a de quoi s'inquiéter.
D'autre part, il semblerait que l'agitation moléculaire à laquelle est soumis l'aliment persiste encore 10 minutes après l'arrêt de l'exposition au rayonnement micro-ondes. Alors comment réagit notre organisme au contact d'aliments ainsi perturbés ? Que faut-il craindre
pour notre santé à plus ou moins long terme ? L'avenir nous le dira , car on ne dispose d'aucun recul dans ce domaine. Aussi, pour nous un seul conseil : s'abstenir ! ».

Association Médicale Kousmine  http://www.solvida.org/

« En mars 1990, l'édition française du Lancet, page 55, rapporte un travail d'une équipe 
autrichienne montrant que chauffer le lait au micro-ondes modifie la formule d'acides aminés
 dénommés par les spécialistes hydroxyproline et praline. La conversion de la forme
structurale « trans » en forme « cis » présente un certain danger. Certains acides aminés
 deviendraient ainsi toxiques pour le système nerveux lorsqu'ils sont utilisés de façon chronique 
et auraient aussi des effets négatifs sur les reins et le foie. De plus, ces transformations 
diminuent la digestibilité des protéines et favorisent l'apparition de composés potentiellement
 toxiques. »

Professeur Joyeux 
 
Le traitement que les fours à micro-ondes font subir aux aliments est à ce point pervertissant, 
qu'il provoque une altération de la formule sanguine de qui s'en nourrit, conduisant à l'anémie et
 à la précancéreuse. »
Journal suisse « Franz Veber » n° 19
« Oserons-nous soulever le problème d'inconscience, de chauffer les biberons au four à
 micro-ondes, alors que de nombreux savants de renommée mondiale ont tenté de crier gare...
 Posons-nous la question :nos petits enfants n'auront-ils pas à nous juger sévèrement voire à
condamner notre stupidité et notre laxisme  ».

mardi 22 janvier 2013

Skiera-t-on en 2050?

On a un peu de mal à y croire en ce moment mais on ne skiera probablement plus en 2050. Les études météo sont formelles : à la fin du siècle, la durée annuelle d'enneigement sera réduite de 80% dans les scénarios les plus pessimistes, 50% dans les scénarios optimistes.
Après tout, ce n'est pas si grave ; les sports d'hiver ne concernent que 9% des français.
Et il y a fort à parier que pour les inconditionnels du ski de descente, compte tenu de l'enjeu économique, les grosses stations continueront à assurer l'enneigement des pistes à grand renfort de neige artificielle au prix de dommages écologiques qui ne sont plus à prouver.
2m3 de neige artificielle nécessitent 1m3 d'eau : pour recouvrir l'ensemble du domaine français, il faudrait utiliser ce que consomme une ville de 1,5 millions d'habitants, soit 100 m3 d'eau (source : Mes courses pour la planète).
Il est peut-être temps de changer nos habitudes : oublier l'ivresse du ski de descente pour une ballade en raquette, une bonne suée en ski de fond ou un parcours en chien de traîneau, des activités qui demandent certes un minimum d'enneigement mais sans pour autant nécessiter le recours à la neige artificielle.
En savoir plus sur le site: mon quotidien autrement.

Vient de paraitre

La Fabrique de malades
Ces maladies qu'on nous invente
Paru le 17 janvier 2013, Ed du Cherche Midi,14,90€
 
Cholestérol, hypertension, cancer, dépression, ostéoporose, ménopause, etc.
Et si l'on en faisait un peu trop ? L'excès de médecine nuirait-il à la santé ?


« Tout bien portant est un malade qui s'ignore », disait le docteur Knock. Aujourd'hui, « tout bien portant est quelqu'un qui n'a pas eu de dépistage ». Des centaines de milliers de Français consultent à l'hôpital ou en cabinet pour pratiquer un bilan médical, radiologique ou biologique. Inquiets et prudents, ils pensent qu'il vaut mieux prévenir que guérir et comptent ainsi éviter une maladie silencieuse.
Dans ce livre, le docteur Boukris évoque la « médecine marketing » et montre comment on manipule médecins et malades en jouant sur les peurs, comment on médicalise nos vies pour pratiquer davantage d'examens biologiques, de radiographies et faire consommer toujours plus de médicaments.
Transformer des sujets bien portants en malades potentiels, tel est l'objectif de certains secteurs médicaux, privés ou publics, qui transmettent un message trompeur, lequel engendre de l'anxiété et génère un gâchis financier.
Surmédicalisation, sur-diagnostic, sur-traitement, ce document nous ouvre les yeux sur des pratiques du monde médico-industriel qui peuvent être nuisibles pour la santé et bouleverse de nombreuses idées reçues.

L'auteur :Sauveur BOUKRISSauveur Boukris est médecin généraliste, enseignant à la faculté Bichat et Lariboisière et collabore à plusieurs revues médicales. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages : Mieux vivre après 60 ans, L’Adolescence, l’âge des tempêtes (Hachette), Souffrances d’adolescents et L’Adolescence de A à Z (J. Grancher).


lundi 21 janvier 2013

Respecter le vide.

Il faut apprendre à respecter le vide.
Interview par Le Figaro de MOUSSA NABATI, psychanaliste, auteur de:" Comme un vide en moi. habiter son présent" chez Fayard.
Le figaro:L'hyper-activité et l'angoisse du vide sont-elles uniquement liées au contexte sociétal?
MN: je ne crois pas. Il y a du positif dans notre société: libertés, nouvelles technologies, santé... Cependant, se pose un problème de limites; cette profusion tous azimuts dépossède beaucoup de personnes de leur intériorité. Il existe un décentrage chez ceux qui sont dominés par leur "enfant intérieur"; ils ont besoin d'être reconnus, l'illusion d'être comblés par une profusion d'objets, d'activités et de relations "bouche-trous".
Le Fig: Il y a donc de l'infantile dans l'incapacité à se recentrer?
MN: Beaucoup d'adultes, alors qu'ils étaient enfants, ont , à un moment, fait l'expérience d'une "carence matricielle", (pour de multiples raisons et cela sans culpabiliser la mère ou l'adulte qui s'occupait d'eux),se traduisant pas un vide de nourriture affective. Adultes, ils  auront tendance à fuir toutes les situations qui rappelleront ce vide et à quêter frénétiquement ce qui pourrait le combler: activités à outrance, hyper-consommation, internet...
Le fig: la psychanalyse peut-elle libérer d'un tel trouble?
MN: Non. Elle aide à en prendre conscience; ce sont les thérapies cognitives et comportementales, ou le développement personnel qui vont aider le patient . On cherche les raisons de son incapacité à affronter le vide, et on met en place des mesures pour transformer le vide en énergie.
 Le fig: par exemple?
MN: ralentir, renoncer à certaines relations, prendre de la distance, apprendre à patienter, à faire silence....
Le fig: et la méditation?
Elle est positive mais tant qu'on ne la transforme pas en nouvelle religion qui serait alors une aliénation supplémentaire.

Un pratiquant averti en vaut deux...

« Comment le yoga peut bousiller votre corps »,titrait il y a peu le New York Times dans un long article de plus de cinq pages. « Ah bon ? »,le yoga, on l’associe pourtant au calme et à la douceur.
Le récit est écrit à la première personne et son auteur, William J. Broad, qui pratique le yoga, explique qu'il s'est fait mal au dos.(...)
Certes, quand on le prend pour un sport, le yoga peut abîmer le corps, c'est une évidence! Le yoga n'est pas un sport et qu’on puisse se faire mal en faisant du yoga,oui! Mais une blessure est d’abord le signe d’une mauvaise pratique.On va se faire mal si on change de prof et de technique  tout le temps ou si on essaie d’aller trop vite car pour faire du yoga, il faut du temps et un cheminement cohérent.

L’ahimsa : « ne pas nuire »

Les nouveaux pratiquants sont trop souvent attirés par un effet de mode alors que le yoga c’est un point de vue sur le monde, une sagesse et l’un de ses premiers principe c’est l’ahimsa: “ne pas nuire, la non-violence.” Ne pas se faire mal, la bienveillance,  c’est l’essence même du yoga et si les gens se font mal, c’est surtout parce qu’ils font des choses qui ne ressemblent pas tellement à du yoga.
Devenue "super -tendance", la pratique  a attiré vers elle de plus en plus de monde. Aujourd’hui, en France, 3 millions de personnes déclarent faire du yoga. Autant que le tennis.Aux Etats-Unis, l’engouement est particulièrement fou et le New York Times raconte, dans son article, un passage de 4 millions de pratiquants en 2001 à 20 millions aujourd’hui.

« Les gens font de l’acrobatie, pas du yoga »

 Il y a de nouvelles formes de yoga, qui ont émergé pour attirer le public, comme le “yoga trend” , le yoga suspendu, le power-yoga et.c . Des déclinaisons du yoga introduites comme des sports et qui sont aujourd’hui en pleine effervescence.Les cours sont nombreux...Ces nouvelles pratiques, ce sont des “curiosités”. Les gens y font de l’acrobatie et ce n’est pas du yoga . Dénicher un vrai cours de hatha-yoga aujourd’hui, c’est comme chercher une bonne assurance : c’est la jungle.
Les "bons" prof's martèlent :« Le yoga, ce n’est pas du sport. Il n’est jamais question de compétition dans le yoga."

« Tout le cours a été super bizarre »

Un exemple trouvé sur un blog: Louise, 28 ans. Elle faisait déjà du « power yoga » mais elle a voulu tenter un cours d’ « ashtanga yoga ». Habituée à des mouvement plus doux, elle a un peu halluciné.
« C’était super sportif, et tout le cours a été bizarre. Le prof a commencé par chanter une chanson en indien, tout le monde l’a suivi. Ensuite, il fallait tenir sur les deux mains avec les bras pliés. Je ne sais pas faire ça moi ! »C’est précisément ainsi que Louise aurait pu se blesser. Elle a d’ailleurs été surprise par le manque d’encadrement de ce cours.« Il y a des filles qui viennent pour l’exploit physique. Elles veulent une souplesse de fou. D’habitude, en yoga, il ne faut jamais forcer : le but étant d’être pile à l’endroit où tu te sens bien. »

Le yoga victime du marketing

Il s’agit  d’un dévoiement du yoga et si un prof vous dit de vous mettre sur la tête, alors que c’est votre premier cours, partez en courant ! C’est un non-sens.
Le yoga est au coeur d’une démarche marketing, celle où l’on place le mot « zen » à toutes les sauces.On va acheter sa "zénitude" vite fait , façon fast-food.Alors que pour faire du yoga, on n’a besoin que de son corps, sa respiration, l'attention portée à soi. On prend l’homme tel qu’il est.
Avant de se lancer dans je ne sais quelle gymnastique intempestive à effets secondaires non désirés,on peut recommander la lecture des Yoga-Sutra de Patanjali,( cf notre bibliothèque). Cela remet très vite les pendules à l’heure par rapport à la dérive américaine actuelle.
 Je donne la parole à une prof intervenue sur un blog , à propos de cet article du NYT.
"Hum, il y a un amalgame/confusion très gênant à propos de ce que l’on connait en France sous le nom d’ashtanga viniyasa yoga qui est une pratique traditionnelle et ancienne directement inspirée du Yoga Korunta et enseignée depuis plus de trente ans chez nous... Rien à voir avec les déclinaisons anglo - saxonnes de type « power yoga » qui  s’orientent vers une logique de résultat commercial, physique, sensationnel, etc.
L’ashtanga viniyasa yoga est une pratique dynamique et engagée, guidée par le souffle, et les professeurs qui l’enseignent selon les préceptes de Sri Pattabhi Jois le font dans le respect du principe de l’ahimsa, à l’instar de toute autre école de Hatha Yoga digne de ce nom.
Ainsi, la pratique avancée de l’ashtanga n’est proposée qu’aux élèves prêts à s’y engager. Si cette pratique reprend des postures (simples ou avancées) communes aux différentes approches posturales du Hatha Yoga, c’est dans l’art de l’enchainement de ces postures et du contrôle du souffle que l’ashtanga yoga fonde sa spécificité.
De plus, cette pratique se construit sur l’idée de la série : les postures s’enchainent selon un ordre immuable (la guirlande) d’abord dans une série simple, que l’élève doit pratiquer harmonieusement avant d’envisager de découvrir une série plus complexe. La grande majorité des pratiquants se contente de la première série, le but n’étant pas d’accumuler les postures, mais de pratiquer en harmonie avec soi...
Rien n’empêche, ensuite, les pratiquants les plus engagés, d’approfondir leur démarche corporelle, mais toujours dans le respect de l'ahimsa...
On est très loin de la description proposée par l’article du NYT..
L’ashtanga souffre de deux maux : des enseignants peu scrupuleux qui discréditent cette belle pratique en la réduisant à l’enchainement de postures acrobatiques à des fins commerciales et des détracteurs qui profitent de l’aubaine pour jeter le bébé avec l’eau du bain... Cet article fait débat sur les réseaux depuis sa publication sur le NYT. En effet, on peut se blesser en pratiquant. Mais ce qui est mis en avant ici reflète les excès du yoga anglo- saxon, bien plus compétitif que ce qu’est en réalité le yoga.
Quand je lis qu’une jeune pratiquante débutante se déplace une cervicale en faisant la roue, le prof que je suis sursaute sur son tapis. La roue est déjà une posture très avancée et, il y a des déclinaisons beaucoup plus simples pour  ressentir les mêmes les bénéfices. De plus dans cette posture, on se doit de justement relâcher les cervicales. Donc le prof avait tout faux.
La problématique posée concerne plus l’information qui doit être donnée aux nouveaux pratiquants, attirés par un effet de mode ; des cours où des dizaines de personnes se bousculent. Pour moi, le bikram est la forme la plus dangereuse pour un pratiquant novice, et on demande de signer une décharge en cas d’accident. Ceci n’est pas normal à mon sens, car les dispositions physiques réclament une condition excellente. Et comme par hasard, cette forme de pratique (au demeurant intéressante pour des sportifs de haut niveau, des danseurs)   vient des Etats Unis et se développe en Europe (France, Belgique, Suisse ....)
Cet article ne reflète pas la réalité de la discipline, axée sur un travail sur soi, une recherche de réconciliation entre son mental, sa conscience et son corps. L’engagement corporel n' est qu' un élément de cette recherche.  C’est aux profs de le comprendre et le faire savoir, et c’est aussi aux élèves de ne pas s’exposer à une pratique trop exigeante pour eux. Si ça force, il faut savoir s’arrêter. C’est d’alleurs un enseignement majeur du yoga que de respecter son corps.
Sans cela, le yoga procure des effets bien positifs sur la santé et sur le mental.

dimanche 20 janvier 2013

Reconnaitre la qualité d'un chocolat

Le consommateur peut lui-même analyser la qualité d'un chocolat en laissant fondre doucement un demi-carré sur le côté de la bouche et en le gardant ainsi 2 à 4 mn.
S'il ne fond pas trop vite, le palais nous signale qu'il n'y a pas eu de rajoût de graisse ni de beurre de cacao provenant d'une autre fève de cacao. Si on salive au bout de 20 secondes, c'est signe de qualité et cela aide à digérer.
Au bout de 30 secondes, le chocolat révèle ses saveurs naturelles, avec une longueur en bouche qui permet de déterminer la qualité du chocolat: plus c'est long, mieux c'est. 30 secondes est le temps minimum nécessaire pour que disparaissent les goûts volatils "cache-misère" ajoutés dans les produits de qualité médiocre, qui excitent les papilles et les neurones pour que le consommateur avale vite sans analyser ce qu'il consomme, avec à la clef obésité, alcoolisme, troubles digestifs...car ces ajoûts incitent à manger et boire plus.
C'est vrai pour tous les aliments car les neurones ne sont pas en satiété s'ils n'ont pas reçu les bons glucides et lipides, ceux dont ils ont besoin. Ils ne captent pas la sérotonine à cause des précurseurs rapides de l'alcool, donc ils réclament toujours plus d'alcool.
Voir le site:  www.omegachoco.com
Source:Ecolomag, nov/déc 2012

vendredi 18 janvier 2013

Saine lecture...

Le premier Hors-série de KAIZEN est sorti, il est consacré entièrement à Pierre Rabhi. Un bel ouvrage de 132 pages, avec de nombreuses photos et témoignages inédits et sans publicité. Vous découvrirez le parcours de Pierre Rabhi comme vous ne l’avez jamais lu, depuis son Algérie natale jusqu’à son Ardèche d’adoption, les livres et les personnes qui l’ont inspirés depuis un demi-siècle. Vous pourrez aussi explorer toutes les réalisations qu’il a initié : Les Amanins, le Mouvement Colibris, le Hameau des Buis, Terre et Humanisme, le Monastère de Solan…
A lire aussi des entretiens et témoignages exclusifs : Matthieu Ricard,Nicolas Hulot, Edgar Morin, Zaz, Michèle Rabhi sa femme, Cyril Dion, Françoise Nyssen, Fabrice Nicolino…
Un premier hors-série très inspirant et essentiel en ces temps moroses.

mardi 15 janvier 2013

Une histoire de grenouilles...

Voici une petite histoire que je soumets à votre réflexion :
 
Il était une fois une course... de grenouilles. L’objectif était d’arriver en haut d’une grande tour. Beaucoup de gens se rassemblèrent pour les voir et les soutenir. La course commença. 
 En fait, les gens ne croyaient pas possible que les grenouilles atteignent la cime et toutes les phrases que l’on entendit furent de ce genre :
  - « Inutile !!!,  - Elles n’y arriveront jamais !  - N'importe quoi ! » 
 Les grenouilles commencèrent peu à peu à se décourager. Les gens continuaient :
  - « Vraiment pas la peine !!!  - Complètement stupide !!   - Elles n’y arriveront jamais ! ...»
 Petit à petit elles s’avouèrent vaincues. A la fin, toutes abandonnèrent, sauf une qui continuait envers et contre tout... Cette grenouille seule rejoignit la cime.
 Les autres, stupéfaites, voulurent savoir comment elle avait fait. Alors l’une d’entre elles s’approcha pour lui demander comment elle avait fait pour terminer l’épreuve.
Et elle découvrit qu’elle était ...sourde !
  
Faisons comme la grenouille victorieuse :
 - N'écoutons pas les personnes qui ont la mauvaise habitude d’être négatives... car elles nous volent nos meilleurs espoirs  !
  - Soyons toujours sourds quand quelqu’un nous dit qu'on ne pourra pas réaliser nos rêves.
  - Osons vivre Réellement notre Vie !
 
Mais il y a de grandes chances pour que nos opinions et nos croyances sur la vie, l’amour, l'argent, les autres, nous entravent .
MAIS ATTENTION, les grenouilles ne sont pas qu'à l’extérieur de nous!
 Les grenouilles extérieures existent et nous en connaissons mais les plus importantes sont celles qui sont en nous: nos pensées, nos émotions qui reviennent quand notre rêve refait surface :
   - « C’est trop difficile pour moi !!!  - J’y arriverai jamais, je suis nul !  - C’est trop risqué.»
 Oui, ce sont bien nos pensées et nos émotions qui contrôlent notre vie. Surtout celles qui reviennent régulièrement, celles qui sont présentes même quand nous ne les avons pas à l’esprit (notre subconscient contrôle 80% de la puissance de notre cerveau.). Ce sont ces "programmations » qui nous mènent à la réussite ou l’échec !
   « Ce que nous sommes aujourd'hui résulte de nos pensées d'hier, et de nos pensées d'aujourd'hui dépendra notre vie de demain. Notre esprit bâtit notre vie. Votre pire ennemi ne peut pas vous blesser autant que vos pensées. Mais une fois maîtrisées, personne ne vous aidera autant que vos pensées. » Bouddha  
 
 
  Souvent, nous avançons dans la vie par essais et erreurs. Nous essayons différentes voies et nous espérons que quelque chose de bien finisse par arriver. Mais rien de tel ne s'accomplit. 
Nous avons appris avec une capacité d'adaptation extraordinaire à marcher, à parler, à lire, à écrire, à compter... mais, on ne nous a appris à utiliser pleinement le pouvoir de la pensée positive, à transformer nos croyances limitantes, à révéler notre identité profonde.